Dans un monde fantastique où les humains coexistent avec des créatures mythologiques (des fées aux ailes bleutées, des centaures ou des pucks, sortes de créatures mi-humain mi-bouc), le détective Rycroft Philostrate mène l’enquête sur des meurtres mystérieux et violents commis à Carnival Row, le quartier populaire de la capitale. A cette occasion, il va renouer le contact avec Vignette Stonemoss, une jeune fée avec qui il avait entretenu une relation amoureuse pendant la guerre.
Carnival Row, c’est d’abord un univers steampunk et fantasy des plus réjouissants. Le mélange des deux genres fonctionne bien, avec sa mythologie propre, créant un monde original, qui permet d’aborder des thématiques liées au racisme, à l’immigration ou aux inégalités sociales. Visuellement, c’est assez somptueux : les décors, les costumes, les différentes créatures... et cette ville qui rappelle Londres à l’époque Victorienne. Une très belle réussite.
On peut regretter toutefois que l’intrigue, globalement, peine un peu à avancer, au moins pendant les deux tiers de la saison. Tout s’accélère, peut-être même un peu trop, dans le dernier épisode. Par contre, tout est en place à la fin pour une saison 2 qui peut être passionnante, si l’intrigue est mieux maîtrisée. En tout cas, la série a un potentiel indéniable !
Tout a fait d'accord ! A la fin de la saison, je rêvais encore dans cet univers! Peine à le quitter!
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