Parmi les séries que j’ai regardées cette année, voici mes préférées, classées en trois catégories : les mini-séries (quelques épisodes et pas plus), les nouvelles séries (dont une saison 2 est confirmée ou probable) et les séries en cours.
Les séries en cours

For All Mankind (sur Apple TV+)
For all Mankind demeure sans doute ma série en cours préférée, une réussite majeure qui parvient, saison après saison, à se renouveler, dans un genre que j’apprécie particulièrement : l’uchronie. L’entremêlement des récits intimes et des enjeux géopolitiques est toujours très bien dosé et l’issue de l’intrigue en fin de saison est toujours incertaine, jusqu'aux derniers instants de l'épisode final. Magistral.
For all Mankind demeure sans doute ma série en cours préférée, une réussite majeure qui parvient, saison après saison, à se renouveler, dans un genre que j’apprécie particulièrement : l’uchronie. L’entremêlement des récits intimes et des enjeux géopolitiques est toujours très bien dosé et l’issue de l’intrigue en fin de saison est toujours incertaine, jusqu'aux derniers instants de l'épisode final. Magistral.
Lire ma critique de la saison 4
The Bear (sur Disney+)
La recette évolue un peu mais c'est toujours un régal ! The Bear demeure incontestablement une des toutes meilleures séries du moment, avec une qualité d’écriture et de réalisation au-dessus du lot, et une interprétation de haut vol pour incarner des personnages touchants, et parfois énervants. Des personnages très humains... Et c’est pour ça qu’on les aime !
Lire ma critique de la saison 3

Slow Horses (sur Apple TV+)
Toujours un petit bijou d’humour et d’action. La meilleure série d’espionnage du moment. Les saisons sont courtes, sans baisse de rythme pour une intrigue efficace qui réserve toujours son lot de rebondissements et de surprises. Avec le toujours génial Gary Oldman qui nous régale à chacune de ses apparitions à l’écran.
Lire ma critique de la saison 4
House of the Dragon (sur Max)
Certains diront sans doute que c’est une saison d’attente, voire une saison frustrante. Mais House of the Dragon est avant tout une série politique, sur le pouvoir, avec ses jeux d’influences, ses alliances et ses trahisons. Avec aussi ses hésitations, ses atermoiements, ses incertitudes et ses résistances. Et cette saison 2 prend le temps de le montrer, de manière convaincante.
Lire ma critique de la saison 2
Kleo (sur Netflix)
Après une saison 1 qui avait créé la surprise, la saison 2 confirme : Kleo est une série d’espionnage très originale, abracadabrantesque, pleine d’humour et d’action, qui propose une version alternative et franchement barrée de la Guerre Froide, au moment de la chute du mur de Berlin.
Lire ma critique de la saison 2
Shrinking (sur Apple TV+)
C’est la série feel-good du moment ! Sans révolutionner le genre, Shrinking est une série très attachante, qu’on regarde avec plaisir, pour sa galerie de personnages réjouissants (Harrison Ford !) et sa façon légère d’aborder des sujets graves.
Lire ma critique de la saison 2
Les nouvelles séries
Shogun (sur Disney+)
Une grande fresque historique, romanesque et épique. Nouvelle adaptation du roman de James Clavell, la série fait le choix de l’authenticité dans la reconstitution historique, pour s’éloigner d’une adaptation trop occidentalo-centrée. Et le résultat est franchement très convaincant, somptueux. Une vraie réussite, qui a de l’ampleur et du souffle.
Lire ma critique de la saison 1
Sugar (sur Apple TV+)
Une série policière, au début assez classique, un bel hommage aux films noirs, dans une esthétique rétro, avec une voix off introspective très présente… jusqu’à un incroyable twist, complètement inattendu, qui fait prendre à la série une nouvelle tournure pour ses derniers épisodes !
Lire ma critique de la saison 1
Les mini-séries
Masters of the Air (surApple TV+)
C’est haletant, instructif, impressionnant de réalisme, remarquablement réalisé et interprété. Masters of the Air est bel et bien le digne successeur de Band of Brothers (qui reste sans doute insurpassé) et The Pacific. C'est ce qui se fait de mieux dans le genre spécifique des séries de guerre.
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Ripley (sur Netflix)
Tournée dans un sublime noir et blanc, la série est un thriller extrêmement bien construit, dans une esthétique évoquant l’âge d’or des films noirs. Car c’est bien une série noire, sombre voire dérangeante.
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Une amie dévouée (sur Max)
La série parvient avec finesse à évoquer la complexité d’un personnage qui crée en nous des sentiments ambivalents : de la sidération et de l’effroi lorsqu’on prend conscience de la souffrance qu’elle ajoute aux victimes, mais aussi de la pitié pour une femme perdue, victime de sa mythomanie.
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Ne dis rien (sur Disney+)
La série est passionnante pour l’immersion qu’elle propose au sein de l’IRA, au cœur des troubles de la guerre civile en Irlande du Nord, ses enjeux, ses stratégies de guerre, les méthodes radicales utilisées, y compris du côté de la police britannique… Une excellente série, troublante à plusieurs égards.
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