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Le duo Kramer & Kiesling est de retour ! Ces deux auteurs de jeu allemands, qui ont créé beaucoup de jeux ensemble et non des moindres (Tikal !), a publié dernièrement "Gueules noires", un jeu de gestion de mine de charbon.
C'est un jeu de placement d'ouvriers, de facture assez classique mais qui fonctionne très bien. C'est vraiment un jeu à l'allemande (une mécanique bien huilée) et même si l'immersion n'est pas totale, le thème est finalement plutôt bien rendu.
Dans "Gueules noires", il s'agit d'envoyer vos ouvriers réaliser différentes actions : acheter des berlines pour transporter le charbon (des cubes en bois, évidemment !), travailler dans la mine, signer des contrats, livrer les contrats remplis ou investir pour gagner de l'argent. A son tour, un joueur peut placer ses ouvriers (des autres cubes en bois !) sur différentes cases du plateau. Mais si la case est déjà occupée, il faut placer un ouvrier de plus que le nombre d'ouvriers déjà présents. C'est plutôt malin et nous oblige à gérer au mieux nos ouvriers qui sont en nombre limité. Tout comme la gestion de l'ascenseur où il faut optimiser les déplacements pour ramener le charbon à la surface, ou la gestion des contrats pour trouver le moment opportun pour les livrer. A chaque contrat livré, on marque des points de victoire. De plus, il y a trois décomptes au cours de la partie, où on marque des points en fonction de majorités liées aux contrats livrés, selon un barème qui évolue au fur et à mesure de la partie.
Bref, "Gueules noires" n'a rien de révolutionnaire dans ses mécanismes mais tout est parfaitement huilé, avec beaucoup d'interaction entre les joueurs, pour un jeu très fluide. Du placement d'ouvriers, des mécanismes de majorité, le tout à la sauce Kramer-Kiesling : je savais que Gueules noires me plairait bien... et c'est le cas !
C'est un jeu de placement d'ouvriers, de facture assez classique mais qui fonctionne très bien. C'est vraiment un jeu à l'allemande (une mécanique bien huilée) et même si l'immersion n'est pas totale, le thème est finalement plutôt bien rendu.
Dans "Gueules noires", il s'agit d'envoyer vos ouvriers réaliser différentes actions : acheter des berlines pour transporter le charbon (des cubes en bois, évidemment !), travailler dans la mine, signer des contrats, livrer les contrats remplis ou investir pour gagner de l'argent. A son tour, un joueur peut placer ses ouvriers (des autres cubes en bois !) sur différentes cases du plateau. Mais si la case est déjà occupée, il faut placer un ouvrier de plus que le nombre d'ouvriers déjà présents. C'est plutôt malin et nous oblige à gérer au mieux nos ouvriers qui sont en nombre limité. Tout comme la gestion de l'ascenseur où il faut optimiser les déplacements pour ramener le charbon à la surface, ou la gestion des contrats pour trouver le moment opportun pour les livrer. A chaque contrat livré, on marque des points de victoire. De plus, il y a trois décomptes au cours de la partie, où on marque des points en fonction de majorités liées aux contrats livrés, selon un barème qui évolue au fur et à mesure de la partie.
Bref, "Gueules noires" n'a rien de révolutionnaire dans ses mécanismes mais tout est parfaitement huilé, avec beaucoup d'interaction entre les joueurs, pour un jeu très fluide. Du placement d'ouvriers, des mécanismes de majorité, le tout à la sauce Kramer-Kiesling : je savais que Gueules noires me plairait bien... et c'est le cas !
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Gueules noires, de Wolfgang Kramer et Michael Kiesling, édité en France par Gigamic.
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